Le Seigneur des Anneaux :

Harry Potter :
  • l'auteur 
  • l'histoire
  • les livres
  • les films
  • les personage

Le site :
 LES ALPHABET INVENTE

Tolkien a créé plusieurs langues durant sa vie (sindarin, quenya, noir parler...). Il a aussi créé des alphabets. L'un des plus connus est l'alphabet tengwar.  Mais le Cirth et aussi trés connu, il est utiliser dans le film notament dans les mines de la moria.

Cirth :

Les cirth (« runes », prononcer [kirθ]) sont des lettres qui permettent d'écrire certaines langues inventées par J. R. R. Tolkien qu'il utilisa et publia dans ses romans, entre autres dans Le Seigneur des Anneaux.

Dans l'histoire fictive de la Terre du milieu, l'alphabet original, le Certhas Daeron, fut créé par Daeron, le ménestrel du roi Thingol de Doriath puis fut ensuite étendu en ce qui est connu sous le nom du Angerthas Daeron. Bien que les cirth furent largement remplacées par les tengwar (améliorées et étendues par Fëanor), elles furent adoptées par les Nains pour mettre par écrit leur langue, le Khuzdûl (ils créèrent les Angerthas Moria et les Angerthas Erebor) car les cirth étaient bien plus adaptées à la gravure dans la pierre, par leurs grandes lignes droites, que les courbes des tengwar. Quelques exemples d'écriture en cirth peuvent être retrouvés notamment sur la tombe de Balin dans la Moria (Le Seigneur des Anneaux, Livre II, fin du Chapitre IV) ainsi que sur la page de garde de certaines éditions de Bilbo le Hobbit ou du Seigneur des Anneaux.

Cirth est un pluriel, une rune seule est une certh ([kɛrθ]).

Plusieurs lettres sont inspirées du futhark, un alphabet runique ayant réellement existé, mais à aucun moment leurs sons ne coincident. En fait, le système qui attribue un son aux runes est bien plus strict dans les cirth que dans les runes historiques (par exemple, les lettres voisées sont marquées d'un trait vertical).



Tengwar :

* S'écrit de gauche à droite ou de droite à gauche en fonction de la main avec laquelle on écrit de façon à ne pas couvrir le texte, en lignes horizontales ;
    * Les tengwar s'écrivent selon plusieurs modes. Le quenya a son propre mode (qui évolua des années 30 au Seigneur des Anneaux), le sindarin en a plusieurs aussi. Un mode a aussi été créé pour l'anglais, et plusieurs amateurs ont créé le leur pour le français (comme celui-ci) ;
    * Les voyelles sont indiquées par les signes diacritiques (tehtar) qui apparaissent au-dessus de la consonne qui les précède (dans le mode du quenya) ou au-dessus de la consonne qui les suit (dans le mode du sindarin). Si les voyelles sont isolées ou sont situées au début d'un mot, elles apparaissent au-dessus d'un support spécial. Les longues voyelles sont toujours attachées à un support ;
    * Les consonnes doublées se notent simplement en ajoutant une ligne en dessous de leur tengwa ;
    * Quand elles sont suivies d'une voyelle, les lettres /s/ /ss/ et /r/ s'écrivent avec le tengwa silme nuquerna, esse nuquerna et rómen respectivement. Autrement ces lettres s'écrivent avec le tengwa silme, esse et óre.
    * Le tengwa thúlë représente à l'origine le son /th/. Mais très rapidement le /th/ en début de mot devient /s/ (Therindë<Serindë), cependant le /s/ provenant à l'origine du son /th/ s'écrit toujours avec le tengwa Súlë(>Thúlë). Sinon ce tengwa continue à être utilisé pour le /th/ à l'interieur des mots.

Voici les tengwar tels qu'ils sont utilisés en quenya tardif: